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Après la défaite contre Monaco (2-0), l'OL qui est quasiment assuré de ne pas disputer la prochaine Ligue des Champions, s'enfonce plus que jamais dans l'incertitude alors que Paulo Fonseca voit son avenir s'inscrire déjà en pointillés... mais pourrait paradoxalement être sauvé par les problèmes financiers de l'Olympique Lyonnais.
Licencier Paulo Fonseca coûterait trop cher
Il y a quelques semaines à peine, Paulo Fonseca affichait une confiance démesurée en conférence de presse, parlant des ambitions européennes de son équipe avec assurance. La réalité du terrain l'a brutalement rattrapé samedi soir à Louis-II. Cette défaite contre Monaco (2-0) a non seulement validé l'élimination quasi-certaine de l'OL de la course à la Ligue des Champions, mais a aussi exposé les failles tactiques récurrentes du technicien portugais.
Les choix contestables se sont multipliés, comme cette préférence pour Jordan Veretout au détriment de Rayan Cherki, une décision qui a privé l'équipe de créativité offensive et qui a été sanctionnée par une note cinglante de 2/10 dans la presse spécialisée. Quand Alexandre Lacazette déclare après le match "on s'est tués nous-mêmes", difficile de ne pas y voir une critique à peine voilée du management sportif.
John Textor est un serial-killer d'entraîneurs, c'est bien connu dans le milieu. Laurent Blanc, Fabio Grosso, Pierre Sage... la liste des techniciens passés à la trappe sous son règne s'allonge constamment. Mais voilà que l'absence d'argent dans les caisses pourrait devenir le meilleur allié de Fonseca. Avec une dette qui grimpe à 540 millions d'euros et des commissaires aux comptes qui pointent une "incertitude significative" sur la continuité d'exploitation du club, l'OL n'a tout simplement plus les moyens de se séparer de son coach. La procédure d'accord négocié déclenchée par l'UEFA et l'amende de 200 000 euros pour retards de paiements multiples témoignent d'une situation financière alarmante qui pourrait, ironiquement, offrir un sursis inattendu à un entraîneur aux résultats insuffisants.
L'OL se retrouve ainsi dans une situation ubuesque: trop pauvre pour virer un coach dont l'impact n'est clairement pas convainquant, trop instable pour s'en sortir seul. Et pendant ce temps, le compteur des occasions manquées continue de tourner, laissant les supporters gones dans une colère noire qui n'a pas fini de gronder.
Les choix contestables se sont multipliés, comme cette préférence pour Jordan Veretout au détriment de Rayan Cherki, une décision qui a privé l'équipe de créativité offensive et qui a été sanctionnée par une note cinglante de 2/10 dans la presse spécialisée. Quand Alexandre Lacazette déclare après le match "on s'est tués nous-mêmes", difficile de ne pas y voir une critique à peine voilée du management sportif.
John Textor est un serial-killer d'entraîneurs, c'est bien connu dans le milieu. Laurent Blanc, Fabio Grosso, Pierre Sage... la liste des techniciens passés à la trappe sous son règne s'allonge constamment. Mais voilà que l'absence d'argent dans les caisses pourrait devenir le meilleur allié de Fonseca. Avec une dette qui grimpe à 540 millions d'euros et des commissaires aux comptes qui pointent une "incertitude significative" sur la continuité d'exploitation du club, l'OL n'a tout simplement plus les moyens de se séparer de son coach. La procédure d'accord négocié déclenchée par l'UEFA et l'amende de 200 000 euros pour retards de paiements multiples témoignent d'une situation financière alarmante qui pourrait, ironiquement, offrir un sursis inattendu à un entraîneur aux résultats insuffisants.
L'OL se retrouve ainsi dans une situation ubuesque: trop pauvre pour virer un coach dont l'impact n'est clairement pas convainquant, trop instable pour s'en sortir seul. Et pendant ce temps, le compteur des occasions manquées continue de tourner, laissant les supporters gones dans une colère noire qui n'a pas fini de gronder.
